Depuis sa création à Strasbourg, région Grand Est, Fugue 31 travaille à partager ses outils et ses questionnements avec tous types de publics.
« Enfant, le théâtre a été la première discipline à me tendre la main. Cette discipline, hors du cadre scolaire, ne me tapait pas sur les doigts à cause de mes fautes de français et de mon tempérament rêveur et introverti. Il y a avait la possibilité d’écrire avec des mots, à l’oral, sans aucune censure. On nous disait : « Essayez, trompez-vous, recommencez. »
Il n’y avait plus le stress des bonnes notes, la compétition, l’individualisme. Nous avions un but commun : défendre un texte avec nos singularités, ensemble.
Quand j’interviens auprès de jeunes gens, j’ai ça en tête. J’ai le super pouvoir, grâce au cadre qui m’est proposé, de rendre attrayant la littérature, l’art, l’ouverture à l’autre, à soi, au monde. »
Rémy Bouchinet
« Le théâtre est un service public. Il est impensable pour moi de ne pas avoir cette phrase en tête. Faire du théâtre dans ce réseau-là, c’est s’inscrire dans une histoire de la transmission.
Dès ma première année à l’école du Théâtre National de Strasbourg, je suis allé toquer à la porte des relations avec les publics pour demander comment, en tant qu’élève, je pouvais « aider ». Et dès ma sortie, à la création de Fugue 31, j’ai commencé à travailler avec ce service dans différents ateliers comme le prix Bernard Marie Koltès ou Éducation et Proximité.
Aujourd’hui, dès que je commence à rêver un spectacle, je réfléchis aux actions culturelles qui pourraient aller de pair, et aux différents publics que ça pourrait toucher. »
Romain Gneouchev
« Enfant, le théâtre a été la première discipline à me tendre la main. Cette discipline, hors du cadre scolaire, ne me tapait pas sur les doigts à cause de mes fautes de français et de mon tempérament rêveur et introverti. Il y a avait la possibilité d’écrire avec des mots, à l’oral, sans aucune censure. On nous disait : « Essayez, trompez-vous, recommencez. »
Il n’y avait plus le stress des bonnes notes, la compétition, l’individualisme. Nous avions un but commun : défendre un texte avec nos singularités, ensemble.
Quand j’interviens auprès de jeunes gens, j’ai ça en tête. J’ai le super pouvoir, grâce au cadre qui m’est proposé, de rendre attrayant la littérature, l’art, l’ouverture à l’autre, à soi, au monde. »
Rémy Bouchinet
« Le théâtre est un service public. Il est impensable pour moi de ne pas avoir cette phrase en tête. Faire du théâtre dans ce réseau-là, c’est s’inscrire dans une histoire de la transmission.
Dès ma première année à l’école du Théâtre National de Strasbourg, je suis allé toquer à la porte des relations avec les publics pour demander comment, en tant qu’élève, je pouvais « aider ». Et dès ma sortie, à la création de Fugue 31, j’ai commencé à travailler avec ce service dans différents ateliers comme le prix Bernard Marie Koltès ou Éducation et Proximité.
Aujourd’hui, dès que je commence à rêver un spectacle, je réfléchis aux actions culturelles qui pourraient aller de pair, et aux différents publics que ça pourrait toucher. »
Romain Gneouchev
« Enfant, le théâtre a été la première discipline à me tendre la main. Cette discipline, hors du cadre scolaire, ne me tapait pas sur les doigts à cause de mes fautes de français et de mon tempérament rêveur et introverti. Il y a avait la possibilité d’écrire avec des mots, à l’oral, sans aucune censure. On nous disait : « Essayez, trompez-vous, recommencez. »
Il n’y avait plus le stress des bonnes notes, la compétition, l’individualisme. Nous avions un but commun : défendre un texte avec nos singularités, ensemble.
Quand j’interviens auprès de jeunes gens, j’ai ça en tête. J’ai le super pouvoir, grâce au cadre qui m’est proposé, de rendre attrayant la littérature, l’art, l’ouverture à l’autre, à soi, au monde. »
Rémy Bouchinet